Que pensez-vous du contenu en lui-même des débats ?
« Force est de constater que malheureusement aujourd’hui la campagne électorale est totalement éludée par la crise internationale. Et pourtant, les 10 ans de présidence Hollande/Macron ont laissé des traces. Les Français attendent le changement et surtout un véritable débat sur les enjeux à venir pour notre pays : que faire pour restaurer l’autorité de l’État ? que faire pour revenir aux fondamentaux de l’instruction ? quelles mesures prioritaires pour accompagner nos entrepreneurs et donner de l’air à nos entreprises et ainsi augmenter le niveau de vie des Français ? quelles mesures pour valoriser le travail, le mérite et l’excellence ? quel modèle de société pour soutenir les plus fragiles et notamment nos aînés ? »
Quels sont les thèmes que vous aimeriez voir aborder (ex. sécurité, solidarités, climat, services publics, pouvoir d’achats, sanitaire (vaccination…) ?
« Depuis que je suis député, mon engagement sur le terrain est quotidien. Je mesure combien les attentes sont grandes. Il ne reste que quelques semaines. Espérons que nous aurons l’occasion enfin d’aborder en profondeur les sujets de la santé (et notamment la problématique à résoudre très rapidement de la désertification médicale), la place de nos territoires ruraux et leur attractivité, les enjeux environnementaux. Il est plus qu’urgent que nous intéressions les Français à cette échéance cruciale. Et que les débats soient ouverts sans tabou. Ce n’est que de cette manière que nous réconcilierons les Français avec la politique en démontrant qu’enfin les réalités du terrain prennent le pas sur les visions technocratique et bureaucratique qui nous sont trop souvent imposées. La démocratie commande à la fois débat mais également pragmatisme et bon sens. »
Quel est le candidat qui vous séduit pour le moment le plus ?
« La France est aujourd’hui très abîmée. Pour aller de l’avant, porter haut l’héritage de la France et affronter les défis à venir, Valérie Pécresse est la seule candidate qui incarne une droite de responsabilité qui a le courage de faire. L’alternance est impérative pour rétablir la confiance et garantir l’identité de notre Nation. Notre engagement dans les semaines à venir est fondamental. Le scrutin appartient à chacun de nous en allant voter les 10 et 24 avril. Allons voter par conviction, force et détermination pour l’avenir de la France et celui de l’ensemble des Français. »
Relire les précédents articles avec l’intervention de l’élu saumurois Bernard Henry (ici) ou encore du maire de Varennes-sur-Loire et président des maires ruraux de Maine-et-Loire, Gilles Talluau (ici), Georges Chabrier (ici), Simon Holley (ici) et Laetitia Saint-Paul (ici).
Copyright © IGNIS Communication Tous droits réservés
Commentaires 7
Bonjour. Nous n avons pas la synthèse de la présentation du candidat macron de vendredi soir?
Bonjour. Le constat n est pas mauvais. Maintenant les solutions sont bien timides. Pecresse qui a fui les républicains car vauqiez président de parti était trop à droite.
Maintenant elle courre après zemmour et compagnie. Bref pathétique
Suite. Madame Pegresse ne souhaite pas véritablement le changement des institutions.
Sarkozy avait promis la proportionnelle parlementaire à 40 %. On attend encore.
Ensuite quand on déclare 6 millions d euros en assurance vie perso. On sait très bien qui va payer comme d habitude…..
Les constats tout le monde peut en faire…Mais où sont les propositions ?
Macro avait promis une diminution du nombre de députés et sénateurs; et une partie de proportionnelle, et aussi la validation des bulletins blancs
Anne-Laure Blin est tellement déconnectée du terrain, elle qui n’a même pas son domicile sur le territoire. Elle ne connaît les gens qu’au travers les manifestations et les chiffres. 4000€ en tant que collaboratrice parlementaire parisienne de JC Taugourdeau et elle vient maintenant nous faire une leçon sur l’identité de la France. Qu’elle retourne à Paris.
Pour une fois que je suis d’accord avec Florentais : Pathétique.
Quand Mr Pregresse son mari était avec macron alors ministre de l’économie pour vendre Alstom et qu’elle était ministre de sarko qui conseil le roi tous ces gens la bouffe dans la même gamelle ça va ne rien changer