« Depuis 2 ans, le gouvernement refuse, sous couvert de mesures « sanitaires », de créer les postes d’enseignants nécessaires, d’infirmières scolaires, d’accompagnants auprès des enfants en situation de handicap (AESH). Plutôt que de fournir les moyens qui permettraient d’assurer l’enseignement aux enfants, il organise le chaos pour les parents et les professeurs : les enfants sont renvoyés des écoles par milliers. À coup de fermeture de classes, d’absences de remplaçants, de liquidation du bac national, de Parcoursup, ce gouvernement est décidé à aller jusqu’au bout de la destruction de l’école publique.
C’est la même politique qui les a conduit à fermer 17 000 lits d’hôpitaux, y compris en pleine pandémie, empêchant des dizaines de milliers de patients d’avoir accès aux soins et interventions indispensables.
Avec Jean-Luc Mélenchon, nous affirmons : « Il n’y a pas d’arrangement possible, pas de compromis, pas de demi-mesure quand on parle de la santé, quand on parle à la vie de nos gamins. » (Meeting de Tours, le 3 février). » Et parce que la meilleure façon de mettre un terme à la casse de l’école serait de dégager le président Macron et son gouvernement , nous appelons enseignants, parents et habitants du saumurois à se regrouper massivement pour cela autour du vote Mélenchon.
Le 1er avril, le groupe d’action populaire vous invite à visionner « Debout les Femmes ! » réalisé par François Ruffin et Gilles Perret et à venir débattre à partir de 19h à la salle des Mariages de la mairie de Bagneux.
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Commentaires 6
La pub pour Mélenchon est assez malvenue sur un medium que je pensai indépendant et d’information.
Non?
C’est une Tribune Libre. Chacun a droit à cette expression. C’est l’avantage de cette rubrique du Kiosque, je vous le rappelle média indépendant.
Tout commentaire est, par définition, politique. Faut-il suprimer les commentaires par souci d’information ?
Dans à peine un mois c’est le premier tour ! Comparez les programmes : https://melenchon2022.fr/programme/comparateur/
Le moins que l’on puisse dire c’est que cette propagande n’est pas clairement identifiée comme une tribune libre.
Au moins dans la lettre quotidienne.