Maine-et-Loire. La fédération de pêche et la gendarmerie s’engagent pour lutter contre le braconnage

En début de semaine, la gendarmerie de Maine-et-Loire et la fédération départementale de pêche ont contractualisé un nouveau partenariat afin de protéger les milieux aquatiques et pour mener des opérations de lutte contre le braconnage et les pratiques non respectueuses de la règlementation.
©Fédération de pêche de Maine-et-Loire

Dans le cadre du partenariat entre le Groupement de Gendarmerie départementale de Maine et Loire et la Fédération de Maine-et-Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique, une nouvelle convention de partenariat a été signée ce mardi 12 novembre au siège de la Fédération à Brissac-Quincé. La Gendarmerie était représentée par la colonelle Guidici et le lieutenant-colonel Weber, respectivement commandante et officier-adjoint du Groupement de Gendarmerie Départementale. La Fédération était représentée par son Président Fédéral, Bernard Merlin. Ce partenariat spécifique et local, est axé sur la technique et l’opérationnel permettant le partage d’informations, d’outils, d’expertise et d’appui sur le terrain. En outre de la partie opérationnelle, la Fédération apporte un appui technique aux brigades de Gendarmerie dans son domaine de compétence. Avec plus de 700 militaires et 300 réservistes, le groupement de Gendarmerie apporte son soutien sur le terrain lors d’actions de contrôles menés par les agents en charge de la police de la pêche. Avec plus de 40 gardes pêche particuliers, 2 gardes fédéraux et une brigade départementale, la Fédération a réalisé plus de 15 000 contrôles de pêcheurs en 2024 sur le département. « Dans les années à venir, les actions déjà mises en place seront reconduites, comme la mise en place d’actions groupées pour lutter contre le braconnage et les formations dispensées aux gardes pêche particuliers par la Gendarmerie. Petite nouveauté, l’accès à l’application VigiPêche pour la Gendarmerie. Cette dernière permet de faciliter le contrôle des cartes de pêche au bord de l’eau », souligne la fédération.

 

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