Cette session a permis de passer en revue plusieurs éléments cruciaux, parmi lesquels : L’actualisation des connaissances relatives aux procédures d’urgence à appliquer en cas de crise ; La présentation des outils disponibles pour les référents, tels que les cartes sectorielles, les fiches d’action adaptées aux différents niveaux d’alerte, ainsi que le matériel de sécurité ; Un rappel des missions fondamentales des référents de quartier, désignés comme « collaborateurs occasionnels des pouvoirs publics » par arrêté municipal. Ces derniers sont chargés de la diffusion des alertes, de l’organisation des évacuations et de la coordination avec les autorités locales, notamment le Maire et le Préfet avec l’appui des services de secours (gendarmerie, pompiers). « Le Plan Communal de Sauvegarde constitue un dispositif obligatoire pour toutes les communes soumises à des risques majeurs, comme c’est le cas pour Longué-Jumelles, particulièrement vulnérable aux crues », précise Monsieur Lefebvre, premier Adjoint au Maire en charge de la sécurité. Ce plan stratégique définit les actions à mener avant, pendant et après un événement grave, qu’il soit d’origine climatique, sanitaire ou autre, dans le but d’assurer la sécurité des habitants. Lors de cette rencontre, les participants ont également été formés aux moyens de communication à utiliser pour informer la population et coordonner les actions avec les autorités. Le suivi post-crise, jusqu’au retour à une situation normale, a également été abordé. En renforçant les connaissances et les compétences des référents, cette réunion a permis d’assurer une préparation optimale des équipes, afin de garantir une réponse rapide et efficace en cas de crise. Le Maire, Frédéric Mortier, ajoute : « La protection de nos habitants est au cœur de nos préoccupations. Cette réunion annuelle marque une étape importante dans la sécurisation de notre commune, et je suis convaincu que, grâce à nos référents et à nos équipes, nous sommes prêts à agir de manière efficace, quelles que soient les circonstances. Pour preuve, lors des incendies de 2022, bien que nous n’ayons pas déclenché le PCS, nous avons suivi le processus, ce qui nous a permis de gérer la situation de manière optimale. »
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