Olivier Piat est restaurateur à Angers, sa vie d’auteur occupe son temps libre, rencontre un succès intime qui lui offre la liberté d’une écriture singulière. Dans ce nouvel ouvrage, il a choisi de parler de sa grand-mère paternelle, Gisèle. Ce qui est arrivé aux oreilles des générations suivantes a forcément été induit par les jugements d’une autre époque. Gisèle quitte mari et enfants, dans les années 60 c’est peu commun. Elle ne parlera jamais de sa vie. Elle ne parlera jamais de cet homme, pas même à ses propres enfants et petits-enfants. À sa mort, en vidant son appartement, un de ses fils découvre des lettres remplies de sentiments : entre déclarations et échanges du quotidien. Une explication à son départ, à son silence, sous la forme d’un acte manqué ; et un voyage en Amour perdu.
Quatrième de couverture
« D’un côté, Gisèle. Dans les années 60, elle quitte son mari, ses enfants, et on ne saura de cette histoire que ce que les gens en diront. Gisèle est une femme qui parle peu, et qui s’éteint presque quand elle perd l’homme qu’elle aime, André, celui pour qui elle a tout quitté. De l’autre côté, Serge, le fils de Gisèle. À la mort de sa mère, il vide l’appartement qu’il a bien connu, habité par une femme qu’il connaissait si peu. En vidant un carton, Serge découvre des lettres, des échanges, tous les échanges de sa vie à elle ou presque. Il découvre les lettres enflammées de sa mère et d’André. Grâce à ces courriers, qui parlent d’amour et du quotidien, Serge va mieux apprendre à connaître sa mère, pour mieux comprendre, mais aussi pardonner. »
Infos pratiques : « Fallait-il que l’on s’aime, Une même histoire, deux regards » d’Olivier Piat aux éditions Les 3 Colonnes. ISBN : 979-10-406-0667-3979-10-406-0667-3. Format : 15 x 21 cm — 152 pages15 x 21 cm — 152 pages. Prix de vente : 15,50 €.
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