Selon le Ministère, « les applications récréatives ne présentent pas les niveaux de cybersécurité et de protection des données suffisants pour être déployées sur les équipements d’administrations. Ces applications peuvent donc constituer un risque sur la protection des données de ces administrations et de leurs agents publics. Cette interdiction s’applique sans délai et de manière uniforme. Des dérogations pourront être accordées à titre exceptionnel pour des besoins professionnels tels que la communication institutionnelle d’une administration. »
La Direction interministérielle du numérique (DINUM) s’assurera de la mise en œuvre de cette instruction, en lien étroit avec l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).
« Au-delà de cette instruction, la cybersécurité de nos administrations et de nos services publics constitue un enjeu crucial pour lequel le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Stanislas Guérini et le ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, Jean-Noël Barrot, sont pleinement engagés », conclut le Ministère.
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Commentaires 1
Mouais …Bravo ,mais ca ne sert à rien .Un portable est un mouchard en puissance det la Chine à beaucoup d autres moyens pour obtenir des infos.
Niveau mouchard ,nous sommes déjà espionné de partout : on a presque tous instagram , facebook, snapchat, gmail, google, apple qui nous surveillent
(que des entreprises liées secrètement aux services américains (NSA et compagnie) et qui pousse culturellement vers le bas toutes nos jeunes générations (15/30 ans) …comme Tik Tok.)