C’était l’une des dernières grandes mesures sanitaires encore en vigueur et elle va être prochainement levée. En effet, le port du masque ne sera plus obligatoire dans les transports en commun (bus, taxi, avion…) à partir du lundi 16 mai 2022. Le Ministre de la Santé, Olivier Véran l’a annoncé ce mercredi 11 mai 2022 lors d’une conférence de presse à la sortie du conseil des ministres. Le port du masque reste toutefois « recommandé », selon les mots du ministre. Cette décision a été prise par l’exécutif alors que les chiffres de l’épidémie continuent de baisser progressivement. « La situation s’améliore, même si l’épidémie n’est pas terminée », rappelle Olivier Véran. En France le taux d’incidence est actuellement de 405 cas pour 100 000 habitants et la tension hospitalière est de 26,5%. En Maine-et-Loire, le taux d’incidence est de 466 et les personnes les plus touchées sont les personnes âgées. Il était à près de 1 300 à la mi-avril. A noter que si le port du masque dans les transports va être levé, les autres règles restent en vigueur. Ainsi, le pass sanitaire est toujours obligatoire pour se rendre dans un établissement de santé (hôpitaux, cliniques, Ehpad…) et le masque doit encore y être porté. Les soignants doivent toujours être munis d’un pass vaccinal.
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Commentaires 5
des gens meurent encore du covid aujourd’hui; chacun doit rester responsable de sa vie et agir en conséquence;
les transports en commun restent des lieux à risques comme tout espace clos ;
Comment garder la tête froide ? Cinquième vague, cinquième dose, énième variant et troisième été placé sous le signe de la peur ! Rien de tel pour paralyser un citoyen…
« Leur réintégration relève d’une triple nécessité : 1/médicale (la suspension n’a aucun sens, le vaccin n’empêche pas la transmission virale) 2/ confraternelle (par respect et dignité des collègues suspendus) 3/ ressources humaines (manque de soignants) », a répondu Gérald Kierzek, en taguant Emmanuel Macron avec un point d’interrogation dans son post afin d’interpeller le président fraîchement réélu…
Un document issu des fichiers récemment mis en ligne, est particulièrement partagée. Plusieurs segments du texte sont mis en exergue : «Il n’y a pas ou peu de données sur l’utilisation du vaccin COVID-19. Les études de toxicité pour la reproduction chez l’animal n’ont pas été achevées. Ce vaccin n’est pas recommandé pendant la grossesse», ou «on ignore s’il est excrété dans le lait maternel, et un risque pour les nouveau-né/nourrissons ne peut être exclu».
« Nous avons utilisé la clause de force majeure et informée à la fois la Commission européenne et le principal producteur de vaccins (Pfizer, N.D.L.R.) que nous refusons de prendre ces vaccins pour le moment et que nous refusons également de payer ». Beaucoup semblent déjà certains que les nombreux effets secondaires du vaccin expliquent cette soudaine résiliation, qui est probablement la raison principale qui a poussé la Pologne à interrompre son contrat avec Pfizer…