Indicateur de suivi sur les 7 derniers jours
– 10 780 cas confirmés par un test positif : + 25 %
– Taux incidence régional (4) : + 45 %
– 15 patients en réanimation/soins critiques (1) : + 50 %
– 0,6 % des passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 pour la semaine 23 (2) : + 0,2 point
– 39 nouveaux cas confirmés à la COVID en établissements médico-sociau (3) : – 17 %
(1) Données SIVIC au 14/06/2022
(2) Source : Oscour/Sursaud
(3) Source : Santé Publique France – données non consolidées pour la semaine 23
(4) % calculé sur le taux d’incidence corrigé de la semaine précédente
Couverture vaccinale 2 doses
– 82,2 % en Pays de la Loire
– 79,5 % en France
Données épidémiques en Maine-et-Loire
Le virus de la COVID-19 ne circule pas avec la même intensité sur l’ensemble de notre territoire. Depuis le 10 novembre 2020, nous publions à un niveau plus précis les données épidémiologiques à l’échelle de l’EPCI. Les données fournies sont des données brutes sans interprétation sanitaire associée. Il est du ressort de l’Agence régionale de santé d’interpréter ces données épidémiologiques au vu du contexte sanitaire.
Copyright © IGNIS Communication Tous droits réservés
Commentaires 34
On a eu omicron, c’est la faute à Macron,
il n’y a plus l’covid, c’est grâce à Vladi Poutine.
ON a eu Omicron c’est la faute à Macron,
tu as eu le Covid,gràce à ta tête vide.
… ça te fera plus de bien qu’une 5e dose!… A cause de « néo-pfizer drogués » comme toi, Poutine risque de trouver une excuse pour nous envahir…
Fiche le camp Jack
Et ne reviens plus jamais
Jamais, jamais, jamais
Fiche le camp Jack
Et ne reviens plus jamais…
Eloïse une jeune femme de 32 ans s’est fait injecter une seconde dose de vaccin Pfizer contre le Covid 19 en juillet dernier. Et depuis, sa vie est un enfer. Ne souffrant d’aucun antécédent médical, elle développe, quelques jours après l’injection, tout un chapelet de pathologies. En plus des effets indésirables classiques, elle souffre de perte de mémoire, d’aménorrhée et d’une arythmie cardiaque qui s’est traduite, le 1er mars 2022, par une myocardite.
Hanouna qui passe son temps à humilier et insulter ses chroniqueurs, quelle belle référence d’actualité sérieuse! Cette jeune femme a eu des problèmes de santé un an après l’injection et non pas huit jour après et rien ne dit que cela est dû au vaccin. Qui vous dit qu’elle ne ment pas et qu’elle n’est pas anti-vax tout comme Hanouna l’est. I
Hanouna invite un médecin mais ne le laisse pas parler en lui coupant la parole et se prenant pour un scientifique. Depuis quand Hanouna est-il médecin??? Quelle honte! aucun respect pour personne. De plus aucun n’a eu accès au dossier médical de cette personne sur le plateau. Des discussions dans le vide qui ne mènent à rien, c’est tout ce que représente cette émission qui abêtit un peu plus chaque jour les téléspectateurs. Comment peut-on diffuser de telles niaiseries?
Que vous n’aimiez pas Hanouna est une chose, que vous remettiez une information en cause en est une autre. A l’inverse vous n’avez pas de preuves que c’est une fake news. Si c’était dans son émission que vous aviez appris que les décisions sanitaires concernant le covid émanaient d’un cabinet de consultation américain et non des (nombreux…) services de l’état, vous ne l’auriez pas cru non plus. Et pourtant…
Le gouvernement a estimé ce jeudi 7 avril que le pic du rebond de la vague de Covid-19 était désormais derrière nous: « Nous avons passé le pic du rebond » de l’épidémie de Covid-19, a affirmé le ministre de la Santé, Olivier Véran, sur la radio RTL.
Les chercheurs du Weizmann Institute of Science ont analysé les données de santé de plus d’1,2 million de personnes. L’étude, publiée mercredi dans le New England Journal of Medicine montre que la protection contre les formes symptomatiques semble diminuer de dose en dose (et de variant en variant), celle-ci disparaissant dès quatre semaines après l’injection. Pas rassurant…
Il n’y a pas à aimer Hanouna ou pas. C’est sa façon de faire qui est gênante. Il dirige les débats selon sa pensée et intime aux autres de se taire quand cela ne va pas dans son sens. Oui, je remets en cause cette information qui n’est ni vérifiée ni avérée. Et vous, avez-vous les preuves de sa véracité? ( Pour le kiosque, j’ai déjà écrit ce commentaire mais il n’est pas passé)
D’accord avec vous pour Hanouna. L’info je l’ai prise ailleurs et j’y crois tandis que vous non. Ce n’est pas ce soir que nous changerons mutuellement d’avis, chacun étant libre de ses opinions. Donc à défaut, bonne soirée.
Pas nécessaire de vous creuser la tête, c’est le gouvernement qui décide, et pas le peuple. Pire, c’est une question de pognon comme d’hab, et c’est plus la France qui dirige 🙄
Aucune confiance en l’État, trop de mensonges…
Hanouna c’est peut-être pas terrible, mais les infos sur TF1 c’est sûrement pire 🤥
Bon dimanche à tous 👍
Comment se fait il que nous n’ayions plus les informations d’état civil ? et ceci subitement sans aucune raison
que veut on nous cacher?
La raison est toute simple : le piratage informatique de la mairie de Saumur.
Une préconisation qui ne fait pas l’unanimité. De leur côté, l’Agence européenne du médicament et le Centre européen de contrôle des maladies ont précisé ce jeudi leur avis sur l’utilité d’un second rappel. Elles le jugent essentiel pour les plus de 80 ans, mais estiment qu’il n’y a pas de preuve suffisamment fortes pour les personnes de 60 à 79 ans avec un système immunitaire normal.
Vendredi 22 avril 2022, le Conseil d’État a invalidé les sanctions prises par l’hôpital de Lannion-Trestel (Côtes-d’Armor) à l’encontre de deux soignantes non-vaccinées. Leur avocat salue l’importance de cette décision. L’avocat se félicite que « ce soit la plus haute juridiction qui se prononce, car cela donne une portée bien plus importante à cette décision. » Il insiste : « Comme il s’agit du Conseil d’État, ça va faire jurisprudence. »
Très rapidement, il a décidé d’attaquer le laboratoire en justice, car à la moindre coupure, il risque l’hémorragie et ne peut plus travailler. Et fait rarissime, le tribunal de Boulogne-sur-Mer lui a donné raison, explique BFMTV, en lui accordant une expertise médicale. « J’attends la plus grande transparence et aussi pour tous ceux qui ont des doutes sur des effets secondaires qu’ils ont pu avoir ». L’homme est désormais suivi par un hématologue parisien.
Le tribunal ne lui a pas donné raison, il a seulement demandé une expertise. Alors, attendez les résultats de l’expertise avant d’affirmer que c’est le vaccin qui est la cause des problèmes de ce monsieur.
Depuis le début de la campagne de vaccination, plus de 142 500 000 injections contre le Covid-19 ont été réalisées en France. Et parmi elles, près de 110 000 000 avec le vaccin Comirnaty (BioNTech-Pfizer) et 24 000 000 avec Spikevax (Moderna). Au total, près de 100 000 effets indésirables ont été recensés avec le vaccin de Pfizer et 25 000 avec Moderna. 125 000 effets secondaires sous ARN Messager, ce que confirme l’ANSM qui a recensé les différentes manifestations délétères.
C’est un énorme caillou qui s’est glissé dans la chaussure d’Emmanuel Macron et d’Olivier Véran le 1er mars 2022 avec cette décision rendue par le conseil des prud’hommes d’Alençon en faveur d’une infirmière salariée d’un Ephad qui refusait de se faire vacciner pour raison médicale : « La législation européenne l’autorisait à refuser ce traitement dans la mesure où à ce stade il doit être considéré comme un médicament expérimental. »
Lors d’un sommet mondial sur le Covid, 17 000 médecins et scientifiques ont fait une déclaration commune le 11 mai. Appelant à mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire enclenché au début de la crise du Covid-19, ils accusent les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, les agences de santé publique et les médias grand public d’avoir, par leurs actions, causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes…
Parmi les effets secondaires peu documentés par les voies officielles : la survenue ou la réactivation d’une maladie auto-immune : Thyroïdite d’Hashimoto, Polyarthrite rhumatoïde, Fibromyalgie et bientôt la maladie d’Alzheimer. Sans oublier la flopée d’autres effets péjoratifs : Hypertension, déséquilibres métaboliques et hormonaux, Anaphylaxie, Paralyse faciale, Pathologies hépatiques, insomnie, brouillard cérébral, perte de compréhension…
On n’a pas fini de découvrir les nombreux effets secondaires graves et prolongés, consécutifs aux injections de « vaxxins » anti-Covid. Il y a ceux que la pharmacovigilance officielle répertorie et publie chaque semaine et il y a ceux que les patients décrivent sur les réseaux sociaux, souvent avec un temps d’avance…
Le virus parvient jusqu’à la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau, puis il se fixe sur des récepteurs spécifiques d’une enzyme (l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2) présents sur les cellules de la barrière hématoencéphalique, mais aussi sur les neurones. Une fois stimulés par le virus, ces cellules et neurones contribuent à l’inflammation du cerveau et à de possibles complications neurologiques telles que lésions cérébro-vasculaires…
Une fois stimulés par le « vaxxin », ces cellules et neurones contribuent à l’inflammation du cerveau et à de possibles complications neurologiques telles qu’une dépression, une neurodégénérescence, des lésions cérébro-vasculaires et des maladies démyélinisantes…
Si vous en êtes capable, lisez l’étude publiée en mars dans la revue Nature confirme les effets neurologiques délétères liés au SARS-Cov-2 , dans les cerveaux de personnes infectées des mois plus tôt, y compris en cas de formes légères. Il n’est aucunement question du vaccin, mais dans votre aveuglement anti vaccin, vous ne savez que parachuter des copier coller en les arrangeant à votre sauce!
Vaccin anti-Covid-19 : une soudaine perte d’audition et des acouphènes détectées. Dans son dernier bulletin d’information, l’OMS lance un signal aux laboratoires pharmaceutiques. Ce signal se définit, selon l’organisation de santé, comme une relation de cause à effet entre un événement indésirable et un médicament. Le signal en question concerne des effets indésirables des vaccins anti-Covid-19 : la perte d’audition et des acouphènes…
Fin février, 1.350 patients venus se faire vacciner au centre installé à la salle Victor-Jara ont reçu des doses de Pfizer et Moderna périmées, a rapporté Le Progrès jeudi. Contactée par BFM Lyon, l’ARS n’a pas souhaité s’exprimer davantage sur le sujet, mais précise que les 1.350 personnes concernées ont été rappelées par le centre afin de recevoir une nouvelle injection. Eh bé, ils doivent avoir la peau comme une passoire…
Déjà autorisé en Europe, le vaccin ne l’est pas encore aux Etats-Unis où les autorités s’inquiètent d’un de myocardite. « L’identification de plusieurs cas associés au vaccin », sur 40.000 participants aux essais cliniques, « soulève l’inquiétude que si un lien de causalité existe, le risque de myocardite suivant la vaccination avec NVX-CoV2373 puisse être plus élevé que ce qui a été rapporté », a expliqué la FDA dans son analyse.
Un nouvel effet secondaire plus inattendu vient d’être récemment mis en évidence. Il s’agit de troubles urinaires. Les travaux, issus d’une équipe taiwanaise, ont été publiés dans la revue Journal of Clinical Medecine. En résumé, 119 (13,4 %) sujets ont ressenti des effets indésirables urinaires, dont 49 (5,5 %) ont nécessité une consultation médicale. Les symptômes décrits étaient : un besoin impérieux et une augmentation de la fréquence d’émission des urines.
Dans son dernier bulletin d’information, l’OMS lance un signal aux laboratoires pharmaceutiques. Ce signal se définit, selon l’organisation de santé, comme une relation de cause à effet entre un événement indésirable et un médicament. Le signal en question concerne des effets indésirables des vaccins anti-Covid-19 : la perte d’audition et des acouphènes.
Le syndrome de Parsonage-Turner, aussi appelé névralgie amyotrophiante de l’épaule, est une maladie qui se caractérise par une douleur violente et brutale de l’épaule suivie d’une paralysie du bras et d’une faiblesse musculaire. La douleur survient souvent dans la nuit et peut durer plusieurs semaines, selon la clinique de Cleveland (États-Unis).
Selon une étude présentée en mai 2022 à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le pourcentage d’hospitalisations liées à un effet indésirable médicamenteux est passé de 3,6 % à 8,5 % en dix ans. Soit une augmentation de 136 %. Or selon cette étude relayée par Le Figaro, 16 % de ces accidents pourraient être évités. Nul doute que les doses à répétition anti-covid n’y sont pas étrangères…