« Tout d’abord, nous réaffirmons notre soutien à toutes les victimes et la nécessité d’aller plus loin dans les politiques de lutte contre les violences conjugales et les violences sexistes.
En effet, comment une personne condamnée pour des faits de violences peut-elle continuer à exercer ses mandats politiques ? Pour les 12 élu-es du groupe L’écologie ensemble, un auteur de violences conjugales condamné par la justice n’a pas sa place dans notre hémicycle.
Aussi, nous regrettons un manque dans la loi sur les cas d’élu-es condamné-es pour de tels faits de violence, malgré la promesse de campagne d’Emmanuel Macron en 2017. Aujourd’hui, la loi n’impose pas à un élu condamné pour des faits de violences conjugales durant son mandat de démissionner. Ce qui a même pu conduire le parti présidentiel à investir aux dernières élections législatives un candidat condamné pour de tels faits, avant que ce dernier ne se rétracte. Ces situations ne peuvent plus perdurer et nous continuerons à porter ce combat dans l’hémicycle et à l’extérieur.
Nous appelons donc à modifier la loi pour rendre incompatible l’exercice d’un mandat électif avec la condamnation pour violences conjugales. »
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Commentaires 2
Tout à fait daccord avec vous mais valable pour tous les autres:: Bayou, Abad, Darmin…
Si les politiciens devaient être créant cela se saurait.
Bonjour. Absolument d’accord biloude.
Par contre pour escroquerie, pour abus de pouvoir, utilisation de l etat a titre privé.
Placement d argent sur des territoires paradis fiscaux … la y a pas de soucis pour nos députés et médias complices.
Vive notre démocratie…ahahaha