Indicateurs de suivi sur les 7 derniers jours
– 33 205 cas confirmés par un test positif : + 39 %
– Taux incidence régional : + 39 %
– 45 patients en réanimation/soins critiques : – 18 %
– 1,2 % des passages aux urgences pour suspicion de Covid-19
– pour la semaine 11 : + 0,2 point
– 454 nouveaux cas confirmés à la COVID en établissements
– médico-sociaux : – 9 %
Couverture vaccinale
Couverture vaccinale 2 doses
– 81,9 % en Pays de la Loire
– 79,2 % en France
Changement le 9/01/2022 : suite à l’ouverture de la vaccination aux enfants de plus de 5 ans, cet indicateur porte désormais sur la population totale (versus 12 ans et plus auparavant, ce qui explique la baisse de ce pourcentage). Cet indicateur reflète la part de la population vaccinée avec un schéma complet (hors rappel) sur la population totale.
Les données épidémiques en Maine-et-Loire
Le virus de la COVID-19 ne circule pas avec la même intensité sur l’ensemble de notre territoire. Depuis le 10 novembre 2020, nous publions à un niveau plus précis les données épidémiologiques à l’échelle de l’EPCI. Les données fournies sont des données brutes sans interprétation sanitaire associée. Il est du ressort de l’Agence régionale de santé d’interpréter ces données épidémiologiques au vu du contexte sanitaire.
Les chroniques du Dr Pierre Blaise, directeur scientifique à l’ARS Pays de la Loire :
Depuis le 3 avril 2020, le Dr Pierre Blaise publie régulièrement son analyse de la situation épidémiologique. Cet éclairage s’appuie sur le travail multidisciplinaire quotidien de toute une équipe au sein de l’ARS.
Chronique du 18 février 2022 :
» En cette mi-février 2022, la situation est tout à fait paradoxale. De multiples signaux avec la baisse rapide des taux d’incidence donnent le sentiment que nous sommes en train de vivre la fin de la pandémie et qu’elle est désormais derrière nous. Pour céder peut-être la place à une vie avec le virus devenu endémique ou saisonnièrement épidémique, s’il ne disparaît pas. Et en même temps, cette vague pandémique en décroissance, laisse encore les établissements, les services sanitaires et médicosociaux et les professionnels de santé dans des difficultés majeures, au point que la situation est aussi, sinon plus difficile que lors des précédentes vagues, à l’exception peut-être des services de réanimation. Mais cette fois, moins du fait de la pression des malades, que de l’absentéisme des professionnels de santé contaminés avec la même ampleur que le reste de la population. Alors que le calendrier de levée des mesures contraignantes invite au relâchement tant attendu rappelant l’optimisme du mois de juin 2020, jusqu’à quel point et comment rester sur nos gardes pour que les leçons de cette crise ne soient effacées ? Nous sommes peut-être une fois encore à un moment clé de l’épidémie. Un moment charnière, avant de capitaliser sur ce que nous avons appris, tout en restant vigilants vis-à-vis de ce virus, toujours présent, avant que les « projecteurs ne s’éteignent ». Voyons pourquoi, voyons comment ? »
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Commentaires 1
On a eu omicron, c’est la faute à Macron,
il n’y a plus l’covid, c’est grâce à Vladi Poutine.