Ce dimanche 27 mars, sera diffusé à 21h10 sur M6 l’émission Capital dédiée au pouvoir d’achat : « Prix en folie, pouvoir d’achat au tapis : qui peut réduire les factures des Français ? ». « À l’approche des élections présidentielles, la question du pouvoir d’achat est la principale préoccupation de plus d’un français sur deux. Les équipes de Capital vous livrent tous les bons plans. Alimentation, chauffage, essence, assurances, vous allez découvrir comment récupérer des centaines d’euros sur votre budget », est résumé le programme. L’émission s’interrogera notamment sur comment des bazar discount comme la Foir’Fouille s’organisent pour proposer des tarifs toujours plus bas.
Un entrepreneur Saumurois sur le devant de la scène
Pour se faire, les journalistes de la rédaction de Capital ont rencontré Franck, l’un des fournisseurs phares de la Foir’Fouille, installé dans le Saumurois. Avec son usine de 24000m2 située au milieu de la campagne allonnaise, Franck est devenu l’un des fournisseurs de mobilier plein air phares de la Foir’fouille. « Déjà leader français du parasol, avec les prix des containers en provenance de Chine qui s’envolent, sa production made in France redevient compétitive même pour des magasins low-cost. Il lui faudra tout de même en passer par quelques conditions et faire quelques retouches sur ses produits pour arriver à décrocher le contrat. Comment se passent les négociations avec une grande enseigne ? Et quels sont les atouts de Franck pour rester compétitif ? », indique la production. Réponse ce dimanche sur M6.
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Commentaires 2
A savoir que parmi ses atouts pour être compétitif sur ce marché, il lui arrive de sous traiter une partie de sa production en prison. Avec un salaire horaire minimum de 45 % du SMIC, des charges sociales allégées et une grande flexibilité de la population pénale employée, c’est une solution offerte aux entreprises. En contre partie les détenus profitent d’une formation, d’une (petite) rémunération et d’une chance de réinsertion à la sortie. Gagnant – Gagnant ?
Si nous trouvions le personnel dans notre belle région Saumuroise, il n’aurait pas été nécessaire de faire de la sous traitance en prison.
De plus, la population carcérale n’a aucune obligation de présence à son poste travail.
Enfin, nous avons pu arrêter il y a déjà plusieurs années cette sous traitance, en industrialisant nos produits.
Aujourd’hui, plus de 90% des produits sont fabriqués à Allonnes, et nous rapatrions en ce moment même de nouveaux produits sur Allonnes.