C’est le 20 février 1846 que la Chine, sous l’autorité de l’empereur Daoguang, autorise l’exercice du christianisme dans certaines zones du territoire, notamment les ports commerciaux, sous la pression du roi de France, Louis-Philippe. Elle s’engage même à reconstruire les édifices religieux incendiés.
Cette décision s’inscrit dans un contexte géopolitiquement tendu entre la Chine et les puissances européennes, quelques années après la première guerre de l’opium. Bien que les persécutions soient interdites contre les missionnaires, celles-ci reprennent peu de temps après, offrant aux occidentaux une nouvelle raison d’intervenir militairement.
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