Les chiffres clés de l’épidémie de coronavirus en Pays de la Loire le 15 mars 2022
Indicateurs de suivi sur les 7 derniers jours
– 23 756 cas confirmés par un test positif : + 21 %
– Taux incidence régional : + 21 %
– 55 patients en réanimation/soins critiques : – 11 %
– 1 % des passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 pour la semaine 10 (1) : stable
– 448 nouveaux cas confirmés à la COVID en établissements médico-sociaux (2) : + 17,5 %
(1) Données SI-DEP consolidées au 11/03/2022
(2) Données SIVIC au 15/03/2022
Couverture vaccinale
2 doses
– 81,9 % en Pays de la Loire
– 79,2 % en France
Changement le 9/01/2022 : suite à l’ouverture de la vaccination aux enfants de plus de 5 ans, cet indicateur porte désormais sur la population totale (versus 12 ans et plus auparavant, ce qui explique la baisse de ce pourcentage). Cet indicateur reflète la part de la population vaccinée avec un schéma complet (hors rappel) sur la population totale.
Les données épidémiologiques en Maine-et-Loire
Le virus de la COVID-19 ne circule pas avec la même intensité sur l’ensemble de notre territoire. Depuis le 10 novembre 2020, nous publions à un niveau plus précis les données épidémiologiques à l’échelle de l’EPCI. Les données fournies sont des données brutes sans interprétation sanitaire associée. Il est du ressort de l’Agence régionale de santé d’interpréter ces données épidémiologiques au vu du contexte sanitaire.
Les chroniques du Dr Pierre Blaise, directeur scientifique à l’ARS Pays de la Loire :
Depuis le 3 avril 2020, le Dr Pierre Blaise publie régulièrement son analyse de la situation épidémiologique. Cet éclairage s’appuie sur le travail multidisciplinaire quotidien de toute une équipe au sein de l’ARS.
Chronique du 18 février 2022 :
En cette mi-février 2022, la situation est tout à fait paradoxale.
De multiples signaux avec la baisse rapide des taux d’incidence donnent le sentiment que nous sommes en train de vivre la fin de la pandémie et qu’elle est désormais derrière nous. Pour céder peut-être la place à une vie avec le virus devenu endémique ou saisonnièrement épidémique, s’il ne disparaît pas.
Et en même temps, cette vague pandémique en décroissance, laisse encore les établissements, les services sanitaires et médicosociaux et les professionnels de santé dans des difficultés majeures, au point que la situation est aussi, sinon plus difficile que lors des précédentes vagues, à l’exception peut-être des services de réanimation.
Mais cette fois, moins du fait de la pression des malades, que de l’absentéisme des professionnels de santé contaminés avec la même ampleur que le reste de la population.
Alors que le calendrier de levée des mesures contraignantes invite au relâchement tant attendu rappelant l’optimisme du mois de juin 2020, jusqu’à quel point et comment rester sur nos gardes pour que les leçons de cette crise ne soient effacées ?
Nous sommes peut-être une fois encore à un moment clé de l’épidémie.
Un moment charnière, avant de capitaliser sur ce que nous avons appris, tout en restant vigilants vis-à-vis de ce virus, toujours présent, avant que les « projecteurs ne s’éteignent ».
Voyons pourquoi, voyons comment ?
Lire la chronique complète du 18 février 2022.
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Commentaires 11
La pass vaccinal n’est pas obligatoire pour les policiers. Un état de fait qui amène donc, en théorie, à cette situation ironique : il est possible pour un policier non vacciné de contrôler le pass vaccinal, par exemple, des clients d’un restaurant… Et ça ne choque personne…
Sinon ce bulletin d’info est aussi imbuvable qu’inutile, sauf à terroriser les faibles d’esprit…
On se demande vraiment qui sont les faibles d’esprit…
Pourquoi? Vous n’avez plus de miroir dans votre salle de bain?…
ENTRETIEN. Les effets de la crise sanitaire sur la psychiatrie : « Un durcissement des pathologies »
La crise sanitaire a eu un impact sur l’activité de la psychiatrie adulte du centre hospitalier de Saumur, dans le Maine-et-Loire. Le Dr Martine Cottier-Jouet, cheffe du pôle, et Laurent Fauque, cadre supérieur, analysent cette évolution. C’est bien de vous qu’ils parlent…
Ce sont des personnes déjà fragilisées psychologiquement qui ont été le plus impactées par la crise sanitaire. Vous le confirmez d’ailleurs avec « un durcissement des pathologies ». Bonne continuation à vous et bonne fin de journée.
« Le masque a été imposé aux enfants sans que l’on ne sache réellement ce qu’il apporte », souligne l’épidémiologiste Alice Desbiolles lors d’un entretien accordé à Doctissimo, avant de poursuivre : « Les méfaits du port du masque, eux, commencent à être connus et documentés. Ils sont relayés par des pédiatres et des professionnels de santé, qui constatent que la santé mentale des enfants se dégrade. »
Si, j’ai un miroir et il n’est pas déformant comme le vôtre.
Certes le vôtre n’est pas déformant mais se raser devant un miroir en buis, ce n’est pas pratique…
Le sous-variant BA.2 d’Omicron, qui se répand rapidement, ne « provoque pas de forme plus grave » du Covid-19 que le variant BA.1 qui circule largement dans le monde, a affirmé mardi 22 février une responsable de l’OMS. « Nous ne voyons pas de différence en termes de gravité entre BA.1 comparé à BA.2 et donc c’est un niveau de gravité similaire en termes de risques d’hospitalisation », a déclaré Maria Van Kerkhove, qui chapeaute la lutte contre le Covid-19 à l’OMS.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé mercredi 23 février la fin des mesures d’urgence prévues dans la loi d’exception invoquée la semaine dernière pour mettre un terme aux manifestations anti-mesures sanitaires qui ont duré trois semaines.
… que Macron dégage, que ce torchon indigeste et incompréhensible ne soit plus publié!…