Jean-Jacques n’a pas sa langue dans sa poche et quand il est contre quelque chose, il le fait savoir publiquement. Après s’être insurgé contre l’interdiction de fumer dans son établissement, contre le port du masque puis contre le pass sanitaire, le quinquagénaire fait savoir son mécontentement contre le président russe. Il témoigne : « Une fois, un gendarme est venu dans mon négoce parce que je fumais ma pipe alors que c’était soi-disant interdit, je l’ai chassé d’un bon coup de pied au c** ! Je n’ai peur de personne ! Je peux vous dire que si Poutine se pointe demain pour avaler un ballon de rouge, tout ce qu’il aura, c’est ma main sur la g***** ! » Des propos courageux de quelqu’un qui en a vu d’autres ! Créatif comme le sont les hommes de sa trempe, il propose même un cocktail aux couleurs de l’Ukraine. « Je mets d’abord une bonne dose de pastis, et je balance deux glaçons faits avec du curaçao et paf ! ça fait un « ukrainien » ! C’est pas bon, mais j’en bois plusieurs chaque jour pour soutenir les gars de là-bas. » Si vous passez devant le bar-tabac de Jean-Jacques, vous verrez sur sa devanture la liste des gens non autorisés à entrer : Vladimir Poutine et Claude L., le gendarme qui veut l’empêcher de fumer. Ne vous avisez pas de contrarier le patron si vous ne voulez pas apparaître sur la liste.
Au moins, monsieur Poutine, vous êtes prévenu !
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Commentaires 2
Aucun respect! J’espère que le gendarme a porté plainte contre ce cafetier. Peut-être devrait-il arrêter la piquette et la moquette. Cela lui éclaircirait l’esprit.
je ne vois pas l’interet de cette publication.le sujet est grave et mérite autre chose que ces ulucubrations de comptoir.