C’est le 3 mai 1803 que l’empereur Napoléon Ier décide de vendre les territoires français de la Louisiane aux États-Unis d’Amérique pour soutenir son effort de guerre en Europe, notamment contre son ennemi viscéral : l’Angleterre. Un accord est trouvé contre la coquette somme de 15 millions de dollars de l’époque.
La réalité n’est pas que financière, le territoire français sur le continent américain est immense et globalement indéfendable. Entre la débâcle de la guerre de Sept Ans et l’échec de l’opération en Haïti, Napoléon Bonaparte préfère s’assurer que l’Angleterre ne puisse pas annexer de force les possessions françaises.
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