Les chiffres clés de l’épidémie de coronavirus en Pays de la Loire le 22 février 2022
– 29 415 cas confirmés par un test positif (sur les 7 derniers jours)
– 10 581 576 (1) tests intégrant les tests RT-PCR et les tests antigéniques réalisés en Pays de la Loire
– 1 126 021 sujets contacts cumulés (2)
– 1,6 % (3) des passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 pour la semaine 7
– 86 patients en réanimation
– 3 551 décès en milieu hospitalier
– 1 354 résidents d’EHPAD décédés (4)
– 16 597 (4) cas confirmés à la Covid-19 chez les résidents d’EHPAD
(1) Données SIDEP depuis le 13 mai 2020
(2) Données AMELI au 17 février 2022
(3) Source : Oscour/Sursaud au 20 février 2022 sur 7 jours glissants
(4) Source : Santé Publique France au 20 février 2022 – cumul depuis le 20/07/2020 (fin de la première vague)
Les données épidémiologiques en Maine-et-Loire
Le virus de la COVID-19 ne circule pas avec la même intensité sur l’ensemble de notre territoire. Depuis le 10 novembre 2020, nous publions à un niveau plus précis les données épidémiologiques à l’échelle de l’EPCI. Les données fournies sont des données brutes sans interprétation sanitaire associée. Il est du ressort de l’Agence régionale de santé d’interpréter ces données épidémiologiques au vu du contexte sanitaire.
Retrouvez toutes les infos sur le COVID-19 en Pays de la Loire sur www.pays-de-la-loire.ars.sante.fr
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Commentaires 9
La pass vaccinal n’est pas obligatoire pour les policiers. Un état de fait qui amène donc, en théorie, à cette situation ironique : il est possible pour un policier non vacciné de contrôler le pass vaccinal, par exemple, des clients d’un restaurant… Et ça ne choque personne…
Sinon ce bulletin d’info est aussi imbuvable qu’inutile, sauf à terroriser les faibles d’esprit…
On se demande vraiment qui sont les faibles d’esprit…
Pourquoi? Vous n’avez plus de miroir dans votre salle de bain?…
ENTRETIEN. Les effets de la crise sanitaire sur la psychiatrie : « Un durcissement des pathologies »
La crise sanitaire a eu un impact sur l’activité de la psychiatrie adulte du centre hospitalier de Saumur, dans le Maine-et-Loire. Le Dr Martine Cottier-Jouet, cheffe du pôle, et Laurent Fauque, cadre supérieur, analysent cette évolution. C’est bien de vous qu’ils parlent…
Ce sont des personnes déjà fragilisées psychologiquement qui ont été le plus impactées par la crise sanitaire. Vous le confirmez d’ailleurs avec « un durcissement des pathologies ». Bonne continuation à vous et bonne fin de journée.
« Le masque a été imposé aux enfants sans que l’on ne sache réellement ce qu’il apporte », souligne l’épidémiologiste Alice Desbiolles lors d’un entretien accordé à Doctissimo, avant de poursuivre : « Les méfaits du port du masque, eux, commencent à être connus et documentés. Ils sont relayés par des pédiatres et des professionnels de santé, qui constatent que la santé mentale des enfants se dégrade. »
Si, j’ai un miroir et il n’est pas déformant comme le vôtre.
Certes le vôtre n’est pas déformant mais se raser devant un miroir en buis, ce n’est pas pratique…
Le sous-variant BA.2 d’Omicron, qui se répand rapidement, ne « provoque pas de forme plus grave » du Covid-19 que le variant BA.1 qui circule largement dans le monde, a affirmé mardi 22 février une responsable de l’OMS. « Nous ne voyons pas de différence en termes de gravité entre BA.1 comparé à BA.2 et donc c’est un niveau de gravité similaire en termes de risques d’hospitalisation », a déclaré Maria Van Kerkhove, qui chapeaute la lutte contre le Covid-19 à l’OMS.