Les habitants de Beaufort-en-Anjou on probablement pu constater, en circulant sur le territoire, des herbes hautes aux bordures de routes et dans certaines zones de la ville. La commune est actuellement en train d’organiser le fauchage, mais doit composer avec un chantier d’ampleur sur une superficie étendue. « Nous comprenons bien ces désagréments. Sachez que nous mettons tout en œuvre, avec les moyens dont nous disposons, pour organiser les fauchages nécessaires », assure la collectivité. Le programme mis en place prévoit que les travaux liés aux bordures de routes soient finalisés dans une semaine, avec l’aide d’entreprises extérieures. A noter que ce chantier de fauchage représente pas moins de 150 kilomètres de réseaux routiers à traiter. « Parallèlement, toutes les équipes sont en œuvre pour ce qui concerne les différents sites dans la commune », poursuit-elle. Enfin, les zones dites « dangereuses », comme les carrefours et la signalisation routière par exemple, seront exécutées en priorité.
Commentaires 3
Quand on fauche des prairies naturelles entre mars et septembre, on interrompt les cycles de reproduction de toutes les fleurs sauvages, de tous les insectes, des oiseaux et autres petits mammifères… Quand est-ce qu’on changera nos pratiques???
Quand on pourra faire du foin et de l’ensilage entre Noël et le 1er de l’an…
Inutile de faucher les routes et zones peu habitées et fréquentées, les chemins et sentiers. Laissons la nature se reproduire là où le danger est limité ou pour le confort individuel. Évitons l’émission supplémentaires de CO2, le gaspillage énergétique et financier qui en découle (salaire entretien matériel…).