« Si l’amour savait parler, sa langue serait celle du tango ». Maria Dolores nous raconte avec une drôlerie gargantuesque SA véritable histoire du tango.
Tout droit sortie d’un film d’Almodovar, la biche madrilène icône du kitsch latin, n’a pas le goût des demi-mesures. Elle ose, sans détour. Maria Dolores avait pourtant juré de ne plus jamais chanter le tango… Alors est-ce l’écho du souvenir ou l’appel du bandonéon qui a réveillé en elle cette musique qui coule dans ses veines ?
Dans ce spectacle savoureux à l’humour tonitruant, elle révèle aussi sa voix envoûtante avec l’Amapola Quartet qu’elle houspille allègrement. Ensemble, ils conversent dans cette langue si sensuelle qui n’appartient qu’au tango ; d’où s’échappent soupirs et soubresauts qui font de cette musique une fusion de passion et de peine. D’airs susurrés en milongas des exilés, on parcourt les trottoirs de Buenos Aires avec cet orchestre au son sublime…
Distribution :
Lou Hugot, alias Maria Dolores : mise en scène, chant, divagations
Sandrine Roche : piano
Christophe Dorémus : contrebasse
Ariane Lysimaque : violon
Infos pratiques : Mercredi 1er mars à 20h30, Espace culturel d’Avoine – Durée 1h10 – Tarifs B : 12 / 14 / 17 € – Renseignements : Mairie d’Avoine 02 47 98 11 15 – www.ville-avoine.fr – Billetterie en ligne : https://billetterie-avoine.fr
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