Du 17 au 21 octobre 2022, la Semaine de l'intégration revient pour une deuxième édition. Tout au long de celle-ci, des évènements sont organisés partout en France afin de valoriser les initiatives locales au service de l'intégration des étrangers en France. Ce lundi, le préfet de Maine-et-Loire est allé à la rencontre des stagiaires du parcours d’intégration par l’acquisition de la langue (PIAL). Zoom sur ce dispositif.
A l’occasion de la semaine de l’intégration des étrangers primo-arrivants, qui se déroule du 17 au 21 octobre 2022 dans toute la France, mise en lumière sur le dispositif du « PIAL », le Parcours d’Intégration par l’Acquisition de la Langue. La Semaine de l’intégration poursuit plusieurs objectifs : Offrir un temps de valorisation et d’échanges autour des actions mises en œuvre par l’ensemble des acteurs mobilisés sur le territoire pour l’intégration des étrangers primo-arrivants ; Porter les actions sur le renforcement de la connaissance par les étrangers de l’offre de services disponible pour favoriser leur intégration ; Valoriser les progrès réalisés en matière d’intégration des étrangers primo-arrivants, en mettant notamment en évidence les initiatives territoriales. Ce lundi matin, Pierre Ory, Préfet de Maine-et-Loire, est allé à la rencontre des stagiaires du PIAL. Il s’agit d’une action d’intégration financée par l’État qui cible les jeunes étrangers de moins de 26 ans engagés dans une démarche d’insertion professionnelle et dont le frein principal à l’emploi est le manque de maitrise de la langue française. En Maine-et-Loire, cette formation linguistique est assurée par l’association APTIRA. Depuis la mise en place du dispositif en 2019, 70 jeunes ont été formés par ce dispositif. Une allocation financière est versée aux stagiaires durant toute la durée de la formation. Le PIAL constitue un tremplin pour permettre aux jeunes concernés d’accéder à des dispositifs de formation ou d’accéder à l’emploi de façon plus rapide et durable.
Le saviez-vous ?
Les étrangers admis au séjour en France qui souhaitent s’y maintenir durablement doivent s’engager dans un parcours personnalisé d’intégration qui se concrétise par la signature d’un contrat d’intégration républicaine avec l’État. Ce contrat a pour objectifs :
– la compréhension par l’étranger primo-arrivant des valeurs et principes de la République,
– l’apprentissage de la langue française,
– l’intégration sociale et professionnelle,
– l’accès au l’autonomie.
En 2021, 945 personnes ont signé un contrat d’intégration républicaine en Maine-et-Loire.
Qui recense, coordonne, mesure les moyens mis à la disposition des migrants/arrivants de tous les horizons : Afrique, Afghanistan, Ukraine, etc.. Qui sont ils, de quelle provenance, que font ils, comment s’intègrent ils ? Qui s’en occupe au juste dans la nébuleuse d’associations et organismes qui ne communiquent rien ou presque, malgré les moyens déployés. Asea, France Terre d’Asile, Mairie, Agglo, Préfecture, Corylus, Croix Rouge, Secours Catholique…
Bonjour. Bonne initiative. Mais 945 personnes je rigole…dans certains pays c est tous les migrants qui ont une obligation. Jeunes ou vieux c est obligatoire avant de rentrer. Cela doit ce faire dans les ambassades. Alors le camp du bien ……
bla bla de ces associations financées par nos impots sans contrôle des collectivités. La misère de nos Français est phagocytée par l’afflux incessant d’immigrants
Je n’irai pas jusqu’à prononcer le mot « grand remplacement » qui est un gros mot
Mais comme les Français sont nuls en maths ils ne se rendent pas compte de ce qui les attend (derniers en Europe et 40 °dans l’OCDE)
Le Kiosque renforce sa veille : Les commentaires ne seront pas corrigés. Ceux comportant des mots grossiers ou portant atteinte à l'intégrité des individus n'étant pas publics ne seront pas publiés. La courtoisie n'empêche pas la libre expression, nous vous rappelons aussi que le débat s'enrichit d'idées et non de critiques aux personnes. Vous pouvez aussi nous adresser un article, une réflexion, une pensée,... que nous publierons en courrier du lecteur.
Commentaires 3
Qui recense, coordonne, mesure les moyens mis à la disposition des migrants/arrivants de tous les horizons : Afrique, Afghanistan, Ukraine, etc.. Qui sont ils, de quelle provenance, que font ils, comment s’intègrent ils ? Qui s’en occupe au juste dans la nébuleuse d’associations et organismes qui ne communiquent rien ou presque, malgré les moyens déployés. Asea, France Terre d’Asile, Mairie, Agglo, Préfecture, Corylus, Croix Rouge, Secours Catholique…
Bonjour. Bonne initiative. Mais 945 personnes je rigole…dans certains pays c est tous les migrants qui ont une obligation. Jeunes ou vieux c est obligatoire avant de rentrer. Cela doit ce faire dans les ambassades. Alors le camp du bien ……
bla bla de ces associations financées par nos impots sans contrôle des collectivités. La misère de nos Français est phagocytée par l’afflux incessant d’immigrants
Je n’irai pas jusqu’à prononcer le mot « grand remplacement » qui est un gros mot
Mais comme les Français sont nuls en maths ils ne se rendent pas compte de ce qui les attend (derniers en Europe et 40 °dans l’OCDE)